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Jogaki Capoeira Paris au Brésil

Jogaki Capoeira Paris au Brésil :

Jogaki Capoeira au Brésil. Du pur bonheur de pouvoir pratiquer la Capoeira au Brésil, au coeur de la source…

Jogaki Capoeira au Brésil ! Une édition 2025 sous le signe de la créativité et plus de 20 participants lors du voyage au Brésil.

L’association Jogaki offre ainsi une opportunité de s’immerger totalement dans cet art subtil qu’est la Capoeira.

Première étape Rio de Janeiro. Dans un élan collectif, le groupe se réunit donc dans 4 appartements réservés à cette occasion.

Cela facilite grandement notre séjour et logistique pour se réunir et ainsi participer aux activités communes. De nombreux cours de Capoeira et balades pour découvrir la ville, sans oublier la samba et quelques caïpirinhas !

Au fur et à mesure du voyage Jogaki au Brésil, l’on se sent de plus en plus à l’aise pour aller découvrir les marchés locaux, les spécialités culinaires ainsi que les randonnées et monuments, quartiers de Rio. Une ville aux milles couleurs pleine de surprises et riche en rodas, cours et événements de Capoeira !

Suite à notre périple Carioca, Jogaki se dirige vers sa prochaine destination qui n’est autre que Vitoria et le Espirito Santo. On plie bagage et donc ni une ni deux se rend à la rodoviaria pour partir en bus de nuit vers cette nouvelle route brésilienne. Un séjour de rêve dans cette ville beaucoup moins fréquentée par les touristes. De très belles plages assez vides et donc on profite un max sur cette deuxième destination, quelle belle surprise ! Merci aux Mestres Ethienne, Sapeba pour leurs cours de grande qualité ainsi que leur accueil chaleureux au sein de leurs académies.

Au final, Jogaki Capoeira Paris au Brésil en 2025, c’est une aventure qui ainsi nous relie à la source et aux origines de cet art…

Obrigado Brasil !

Lien du site web de l’association : https://Paris-Capoeira.fr

Blog de Jogaki : https://Jogaki.fr

Jogaki Capoeira Paris au Brésil, photo du christ redempteur

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Abadá-Capoeira s’engage pour Octobre rose

Lancée initialement aux Etats-Unis au début des années 90, la campagne octobre rose est animée en France par l’Association Le Cancer du sein, parlons-en !, et ce depuis 1994 pour :

  • sensibiliser au dépistage ;
  • Casser le tabou de la maladie, mettre en avant les femmes qui luttent ;
  • Récolter des fonds pour la recherche.

Aujourd’hui, plus de 70 pays participent, avec notamment des actions de communication fortes telles que la Tour Eiffel ou le Christ à Rio illuminés en rose le 1er octobre pour l’occasion. Elle porte ses fruits puisque la question du cancer du sein n’est plus aujourd’hui un tabou dans le monde. On en parle et c’est heureux !

Quelques chiffres importants montrent que le sujet est toujours d’actualité :

  • 54 000 nouveaux cas de cancer du sein sont décelés chaque année en France ;
  • Le cancer du sein reste la première cause de décès par cancer des femmes avec 11 883 décès en 2017.

Ceci étant dit, plusieurs observations importantes sont porteuses d’espoir :

  • tout d’abord, la diminution du taux de mortalité de -1,5 par an observée entre 2005 et 2012 ;
  • ensuite, la survie après traitement pour cancer du sein a nettement progressé et atteint maintenant 87% à 5 ans (près de 9 femmes sur 10) alors qu’elle était de 80% en 1993.

Malheureusement, un constat plus sombre persiste : lorsque des métastases de cancer du sein surviennent, la survie n’est plus que de 26%. Il est donc urgent de poursuivre les efforts de recherche et de communication.

Quelques autres chiffres importants à savoir :

  • Dans plus de 8 cas sur 10, ce cancer touche des femmes âgées de 50 ans et plus
  • Environ 10 % des cas de cancer du sein se manifestent chez les femmes âgées de moins de 35 ans
  • 5 à 10% seulement des cancers sont d’origine génétique et 85% sont sporadiques et isolés

Comment agir ? 

Si le cancer du sein touche essentiellement les femmes, c’est toute la société qui doit être mobilisée contre ce fléau qui touche nos mères, nos amies, nos tantes, nos sœurs … Quelques actions possibles :

  • En parler autour de soi, partager les campagnes de communication sur les réseaux sociaux ;
  • Être attentif aux modifications de sa poitrine et réaliser des examens de dépistage réguliers (pour en savoir plus, voir la brochure d’information intitulée « Les cancers du sein – Ce que les femmes doivent savoir ») ;
  • Faire un don pour la recherche : Depuis 2016, les internautes peuvent effectuer un don en ligne via la plateforme de crowdfunding de la Caisse d’Epargne : http://cancerdusein.espacedons.com/ ;
  • Un forum de discussion est ouvert toute l’année pour les femmes et leur entourage sur le site de l’association Le Cancer du sein, parlons-en ! Et jusqu’au 15 novembre un médecin cancérologue répondra en privé aux questions des internautes posées sur une rubrique spéciale du site ;
  • Des kits d’information sont disponibles dans les parfumeries Marionaud, sur les comptoirs Estée Lauder et Clinique des grands magasins, mais aussi auprès des collectivités publiques, centres de soins etc. Ces kits contiennent notamment des rubans roses, la brochure d’information intitulée « Les cancers du sein – Ce que les femmes doivent savoir » et éditée par l’association Le Cancer du Sein, Parlons-en !.

Pourquoi en parler à la capoeira ?

  • Pourquoi pas ? La roda de capoeira est partout et depuis toujours un lieu de vie, de rencontres et d’échanges. C’est donc un endroit tout à fait approprié pour diffuser ce type d’informations de sensibilisation. Cela permet de toucher beaucoup de monde d’un coup.
  • Mais surtout parce que la capoeira porte en elle depuis sa création une dimension sociale et citoyenne. Bien plus qu’un sport, la capoeira est un art, un mode de vie, un lieu de vie. Créée par les esclaves pour lutter pour la liberté, elle continue aujourd’hui à être utilisée dans le monde et en particulier au Brésil pour véhiculer des valeurs fortes de citoyenneté. Parler de sujets de santé publique comme le Cancer du sein fait partie de ce devoir de citoyenneté.
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Corcovado, Samba da Mangueira, Capoeira et Sushis Brésiliens by Nutella

Aaaahhhh, le Brésil !!!! Avec son soleil, sa plage et la vie tranquille…

La vie tranquille ? Heu? Vous plaisantez? Ou alors vous ne connaissez pas Jogaki ! La vie tranquille, c’est pour les Cariocas. Pour nous, au programme de l après-midi, ce sera samba (2h), percussion (2h) et cours de capo pour être sur de bien dormir.
« Mais quand visitez-vous Rio ? », me direz vous. Et bien, chez Jogaki, on n’est pas des marmottes.

Hier déjà à 7h30, les plus courageux faisaient du yoga et de la capo sur la plage.

 

Aujourd’hui, à la même heure tout le monde est prêt pour aller visiter le site du Christ rédempteur de Corcovado.
La vue est magnifique et le temps est superbe. Que demander de plus ? Une photo souvenir tous ensemble ? Difficile au milieu des autres touristes mais on a enfilé nos Tshirts de combat et on a réussi. Bien sûr, une grosse pensée pour ceux qui n ont pas pu participer à ce voyage et à qui nous pensons très souvent. Vous nous manquez émoticône kiss

 

 

12h : Déjeuner sur le pouce et c’est reparti pour l’ après-midi.

L’école de samba se trouve aux abords d’une favéla. Je dois avouer avoir un pincement au cœur en voyant l’état des bâtiments. jusqu’à présent on voyait les favélas d’assez loin. Pour ma part, j’avais déjà vu des reportages sur les favélas à la télévision, mais de toucher du doigt la misère des favélas ça fait relativiser beaucoup de chose.

Arrivée à l école, l’accueil est très chaleureux et professionnel. Nous avons de la chance car l’école Mangueira est la 1ère école de Samba (10 fois championne du carnaval) et notre professeur du jour n’est autre que la reine du carnaval 2015, Evelyne.
Son cours était génial ! Jolie, souriante et très professionnelle, elle nous a décortiqué quelques mouvements de base, ce qui nous a permis de le comprendre et de tenter de le reproduire. Personnellement, je trouve que l’on s’est tous pas mal débrouillés. Maintenant, j’espère qu’on gardera bien en tête les mouvements pour pouvoir les pratiquer à notre retour.

 

À peine terminé, on enchaîne sur le cours de Percussion.

Il y avait un gros tambour, des moyens et des petits (sourde, cachas, repiques dont je ne cautionne pas l’orthographe)… , tellement d’instruments et moi, je me retrouve avec…une poêle … Et oui, une poêle mais c est un vrai instrument de musique.

 

 

Encore un super cours dans une très bonne ambiance.
Nous avons interviewé les professeurs de la journée qui sont également très investis dans la vie des favélas. En effet, l’école offre aux enfants des favélas des formations pour les aider à s’en sortir.

Sur le chemin du retour qui longe la favela, la nuit tombe et les rues s’animent au rythme de musiques, des odeurs de snacks font flotter comme une ambiance de fête.
Ensuite, c est cours de Capoeira à Humaita.
Des élèves de tous les pays sont là. C’est très intéressant. Vous jouez avec/contre (selon vos objectifs ;-)) des personnes dont vous ne connaissez rien et qui peuvent venir de n’importe quel pays. En quelques secondes et pour quelques minutes, vous créez un échange faisant fit de la barrière de langue. C’est très enrichissant.
Après le cours, on a participé à la répétition d’ une partie du spectacle. Ça promet d être très sympa.

 

 

Enfin, la journée se termine et nous avons besoin de reprendre des forces. Beaucoup d’ élèves jogaki raffolent des sushis alors quoi de mieux qu’un buffet à volonté de cuisine japonaise à la sauce brésilienne ? Et oui, la communauté japonaise est très importante au Bresil et la plupart des brésiliens raffolent également des sushis. Après des péripéties pour obtenir nos plats (ah la vie au Brésil…), nous avons mangé d excellents sushis, originaux qui fondent dans bouche et fini par des nems au chocolat et banane/canelle qui sont à tomber !

 
Encore une belle journée bien remplie.
Merci Jogaki pour cette enrichissante aventure.

 

Ecrit par / Autora : Carine « Nutella »